Sacrement de réconciliation

Lun­di de 17 h 30 à 18 h 30 à la cha­pelle St Jean (sous l’église Notre-Dame-de-Lourdes à la Baule)
Mer­cre­di de 17 h 30 à 18 h 30 à l’é­glise Notre Dame des Dunes de Por­ni­chet
Same­di de 16 h à 17 h au fond de l’église Notre Dame de la Baule

Pour les confes­sions indi­vi­duelles, vous pou­vez prendre ren­dez-vous avec un prêtre en nous contac­tant :
- La Baule
2 ave­nue des Alcyons, 02 40 60 30 23
Per­ma­nence du lun­di au same­di de 9 h à 12 h et de 14 h 30 à 17 h 30
- Por­ni­chet
4 ave­nue des Loriettes, 02 40 61 01 42
Per­ma­nence du lun­di au same­di de 10 h à 12 h

La confession, qu’est-ce que c’est ?

Le sacre­ment de récon­ci­lia­tion est le signe de l’a­mour infi­ni de Dieu. Le par­don de Dieu est tou­jours pos­sible, si nous fai­sons une démarche vrai­ment sin­cère. En se recon­nais­sant pécheur, nous croyons que l’A­mour infi­ni de Dieu est tou­jours le plus fort. Le dia­logue avec un prêtre est le signe effi­cace de la récon­ci­lia­tion avec Dieu et avec nos frères.

Le par­don de Dieu est expri­mé par les paroles du prêtre : « Que Dieu notre Père vous montre sa misé­ri­corde ; par la mort et la résur­rec­tion de son Fils, il a récon­ci­lié le monde avec lui et il a envoyé l’Esprit-Saint pour la rémis­sion des péchés : par le minis­tère de l’Église qu’il vous donne le par­don et la paix. »

« Le par­don de nos péchés n’est pas quelque chose que nous pou­vons nous don­ner à nous-mêmes. Je ne peux pas dire : je me par­donne mes péchés. Le par­don se demande, il se demande à quelqu’un d’autre et dans la confes­sion, nous deman­dons à Jésus son par­don.
Le par­don n’est pas le fruit de nos efforts, mais c’est un cadeau, un don de l’Esprit-Saint, qui nous comble dans le bain régé­né­rant de misé­ri­corde et de grâce qui coule sans cesse du cœur grand-ouvert du Christ cru­ci­fié et res­sus­ci­té.
C’est seule­ment si nous nous lais­sons récon­ci­lier dans le Sei­gneur Jésus avec le Père et avec nos frères que nous pou­vons être vrai­ment dans la paix. Et cela, nous l’avons tous res­sen­ti dans notre cœur lorsque nous allons nous confes­ser, avec un poids sur l’âme, un peu de tris­tesse ; et quand nous rece­vons le par­don de Jésus, nous sommes en paix, avec cette paix de l’âme qui est si belle et que seul Jésus peut don­ner, lui seul. »

Pape Fran­çois
audience géné­rale, 19 février 2014